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Titre : | L'Ă©conomie informelle dans le tiers-monde |
Auteurs : | Bruno Lautier |
Type de document : | texte imprimé |
Editeur : | Paris : La DĂ©couverte, 1996 |
Collection : | RepÚres, num. n° 155 |
ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7071-2373-2 |
Format : | 124 p. |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ ECONOMIE SOUTERRAINE ; ECONOMIE ; TRAVAIL PRECAIRE ; MACROECONOMIE ; SOUS EMPLOI ; DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ; DEVELOPPEMENT URBAIN ; ETUDE HISTORIQUE ; PAYS EN DEVELOPPEMENT |
RĂ©sumĂ© : | L'Ă©conomie informelle est caractĂ©risĂ©e par l'imprĂ©cision et l'importance de ce qu'elle dĂ©signe : il s'agit aussi bien du commerce de rue que du trafic de drogue ou des emplois non dĂ©clarĂ©s. On peut distinguer deux pĂ©riodes relatives Ă cette appellation : jusqu'en 1985 elle est considĂ©rĂ©e comme un lieu oĂč s'opĂšrent des stratĂ©gies de survie ; depuis 1986, elle est devenue une vĂ©ritable solution organisĂ©e pour les exclus du monde du travail. L'Ă©conomie informelle est structurĂ©e par des mĂ©canismes Ă©conomiques et une logique sociale : elle entretient des liens avec l'Ă©conomie formelle, elles sont mĂȘme parfois imbriquĂ©es. Si dans les pays du Tiers-Monde elle a permis de contenir les rĂ©actions sociales dues Ă l'Ă©chec des projets de dĂ©veloppement, il semble qu'elle soit sur le point d'atteindre ses limites en tant que "palliatif". C'est pour cela que les pays industrialisĂ©s doivent impĂ©rativement tirer les enseignements de son Ă©volution, et rĂ©flĂ©chir au rĂŽle que l'Etat entretient avec le secteur informel. |
Document Céreq : | Non |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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28124 | O-617-96 | Ouvrage | CEREQ | Bibliothèque | Disponible |