Accueil
Titre : | Skills and the limits of neo-liberalism: the enterprise of the future as a place of learning (1989) |
Auteurs : | Wolfgang Streeck |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Work, employment and society (vol. 3, n° 1, March 1989) |
Article en page(s) : | pp. 89-104 |
Langues: | Anglais |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ THEORIE DE LA REGULATION ; QUALIFICATION ; THEORIE ECONOMIQUE ; FACTEUR DE PRODUCTION ; QUALIFICATION COLLECTIVE ; FORMATION PROFESSIONNELLE EN ENTREPRISE ; ROYAUME UNI |
RĂ©sumĂ© : | S'opposant aux tenants du nĂ©o-libĂ©ralisme et de la dĂ©rĂ©gulation, l'auteur dĂ©veloppe la thĂ©orie selon laquelle les entreprises devraient ĂȘtre insĂ©rĂ©es dans un ensemble de contraintes sociales qui les obligeraient et les inciteraient Ă la fois Ă faire un usage plus efficace de leurs facteurs de production "privĂ©s" et "publics", "individuels" et "collectifs". AprĂšs avoir Ă©tudiĂ© le mode de constitution des qualifications et leur caractĂšre de "bien de production collectif", l'auteur souligne les limites du rĂŽle de l'Etat pour mettre en Ă©vidence la contribution que l'entreprise peut apporter au dĂ©veloppement des qualifications par le biais de la formation. Dans ce contexte, il met en relief l'action de certains groupes sociaux, tels les organisations syndicales, qui pourraient jouer un rĂŽle de rĂ©gulation plus positif que l'intervention de l'Etat ou le marchĂ© lui-mĂȘme. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.1177/0950017089003001006 |