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Titre : | Les employeurs et les contrats aidés : motivations et processus de recrutement (2010) |
Auteurs : | Yannick Fendrich ; CĂ©line Gratadour ; VĂ©ronique RĂ©my |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Dares Analyses-Dares Indicateurs-Dares Résultats-Dares Focus (n° 041, juin 2010) |
Article en page(s) : | 11 p |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ RECRUTEMENT ; CAE - CONTRAT D'ACCES A L'EMPLOI ; CIE - CONTRAT INITIATIVE EMPLOI ; RMI - REVENU MINIMUM D'INSERTION ; FRANCE |
Résumé : |
Fin 2007, l’ANPE (désormais Pôle emploi) était considérée par les employeurs ayant recruté en contrat aidé comme le principal vecteur de connaissance de ces contrats de même qu’un intermédiaire prépondérant pour le recrutement. La moitié des employeurs ayant embauché en contrat aidé du secteur marchand (contrat initiative emploi, contrat insertion – revenu minimum d’activité) connaissaient par ailleurs déjà le salarié recruté avant son embauche, contre seulement un quart des employeurs ayant recruté en contrat aidé du secteur non marchand (contrat d’accompagnement dans l’emploi, contrat d’avenir). Dans le secteur marchand, six employeurs sur dix déclarent avoir recruté en contrat aidé pour pourvoir un nouveau poste de travail. Dans le secteur non marchand, seuls quatre recrutements sur dix avaient cet objectif et autant visaient à remplacer un salarié dont le contrat aidé était arrivé à son terme.(Source : Dares)
Les employeurs du secteur non marchand déclarent beaucoup plus fréquemment que ceux du secteur marchand qu’ils n’auraient pas embauché sans l’aide financière de l’État associée au contrat aidé. Cette aide est jugée particulièrement déterminante par les établissements publics et les associations du secteur non marchand. Dans le secteur marchand, les petits établissements semblent y accorder plus d’importance que ceux de plus grande taille. |
En ligne : | http://www.travail-solidarite.gouv.fr/IMG/pdf/2010-041.pdf |