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Titre : | Les MOOC, et après ? (2015) |
Auteurs : | Philippe Durance ; Dominique Boullier ; Daniel Kaplan |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Problèmes économiques (n° 3103, première quinzaine ; janvier 2015) |
Article en page(s) : | pp. 44-51 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ NTI - NOUVELLE TECHNOLOGIE DE L'INFORMATION ; INTERNET ; CONTENU DE FORMATION ; ENSEIGNANT ; METHODE PEDAGOGIQUE |
Résumé : | Il y a quatre ans, Sebastian Thrun, un ingénieur allemand enseignant à l’université Stanford (États-Unis), a mis en ligne son cours d’intelligence artificielle. Très vite, le nombre d’étudiants qui suivaient cette formation a dépassé le nombre d’inscrits à Stanford pour atteindre 160 000. Sebastian Thrun venait de créer le premier « cours en ligne ouvert à tous » (MOOC – Massive Online Open Course). Parfois gratuit, souvent non diplômant, le MOOC est toujours « massif » : le nombre d’étudiants inscrit en ligne est considérable, c’est ce qui le distingue d’un cours classique. Des plateformes hébergent les MOOC et reçoivent en échange une redevance fixe ou proportionnelle au nombre de followers. Les entreprises ont également intérêt à financer certains MOOC et repérer les meilleurs éléments, lors des évaluations, pour les embaucher ensuite. Mais selon la revue Nature, en dépit de leur effectif pléthorique, ceux qui les suivent sont relativement aisés et ont un niveau d’éducation préalable élevé. |
Document Céreq : | Non |