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| Titre : | La reprise individuelle d'entreprise (1988) |
| Auteurs : | Jean-François Lochet |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | Formation emploi (n° 24, octobre-décembre 1988) |
| Article en page(s) : | pp. 40-50 |
| Langues: | Français |
| Catégories : |
Thésaurus CEREQ REPRISE D'ENTREPRISE ; TRAVAIL INDEPENDANT ; FRANCE |
| Résumé : | La question de la transmission/reprise d'entreprise apparaît nouvelle à bien des égards : à côté de son public traditionnel des héritiers, la reprise concerne de nouvelles populations - on est moins souvent que par le passé patron de père en fils -; d'autre part, mais de manière liée, elle suscite l'apparition de dispositifs institutionnels oeuvrant à sa promotion alors que la préservation de la liberté d'installation semblait devoir s'opposer à l'émergence de toute institutionnalisation. Cette "mise en scène" institutionnelle de la transition/reprise - dégager la transmission de son image familiale et la présenter comme un acte de gestion ordinaire de l'entreprise - se développe relativement à deux intérêts socio-économiques : un souci de traitement préventif du chômage (reprendre une entreprise constitue, au minimum, la préservation d'un emploi) et, d'autre part, toute disparition d'entreprise (l'absence de successeur en est parfois le fondement) affectant l'environnement économique, le maintien et, à plus forte raison, l'expansion de la dynamique du tissu industriel et commercial incitent à des interventions concertées, nationales ou locales, stimulant l'essor d'un véritable marché de la transmission/reprise. |
| Document Céreq : | Oui |
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