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Résumé :
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La validation des acquis en France s'appuie, soit sur un référentiel de certification pour la validation après un parcours de formation, soit sur un référentiel de compétence, construit par l'entreprise pour ses besoins spécifiques. Elle dispense de pré-requis à l'entrée dans un cycle de formation ou d'épreuves permettant l'octroi d'une certification, d'une partie du parcours de formation menant à une certification officielle ou la délivrance d'une certification permettant la lisibilité sur le marché du travail. Les procédures cependant n'apportent pas toujours la lisibilité des compétences attendues par les individus et les employeurs, se fondent sur des modalités d'évaluation difficiles à construire et souvent peu adéquates et sur un choix pas toujours légitimé ni crédible de valideurs. Pour toutes ces raisons, elles sont appliquées de manière marginale. Le faible taux de formations continues visant une certification qui en découle pousse à la recherche d'une meilleure rationalisation des investissements et donc à l'utilisation des bilans ou des portefeuilles de compétences.
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