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Auteur Sophie Saint-Philippe |
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Présentation générale de notre système éducatif : L'état de l'École / Sophie Saint-Philippe in Note d'information de la DEPP, n° 19.43 (novembre 2019)
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Titre : Présentation générale de notre système éducatif : L'état de l'École Type de document : document électronique Auteurs : Sophie Saint-Philippe Année de publication : 2019 Article en page(s) : 4 p. Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
SYSTEME EDUCATIF ; POPULATION SCOLAIRE ; EFFECTIF ; ECONOMIE DE L'EDUCATION ; ENSEIGNANT ; RENDEMENT DE L'EDUCATION ; FRANCE ; COMPARAISON INTERNATIONALERésumé : La publication L’état de l’École présente depuis 1992 une synthèse d’indicateurs statistiques qui apparaissent essentiels pour analyser notre système éducatif et apprécier les politiques publiques mises en oeuvre. Ces indicateurs, se renouvelant régulièrement, sont présentés le plus souvent avec une perspective temporelle, mais aussi internationale. Ils sont déclinés, lorsque cela est pertinent, selon l’origine sociale des élèves, le territoire où ils vivent et selon l’entrée filles-garçons.
L’objectif est d’alimenter le débat public autour de l’école, d’enrichir l’aide au pilotage et de contribuer à l’évaluation du système éducatif français.
En 2018, la population scolaire diminue très légèrement avec une baisse marquée dans le premier degré liée à la forte diminution des naissances des dernières années. L’effort de la nation pour l’École est important, mais la France apparaît encore en retrait sur le premier degré par rapport à la plupart des autres pays européens. En termes de résultats, sur le long terme, l’école a permis de diplômer et de qualifier beaucoup plus de jeunes, mais sans toutefois parvenir à faire disparaître les inégalités, en particulier celles liées à l’origine sociale, mais aussi entre filles et garçons ou territoriales. Enfin, toutes les évaluations de compétences mettent en évidence un pourcentage entre 15 % et 20 % d’élèves en forte difficulté scolaire et ceci très tôt dans leur scolarité.Document Céreq : Non En ligne : https://www.education.gouv.fr/cid145769/presentation-generale-de-notre-systeme-e [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=66118
in Note d'information de la DEPP > n° 19.43 (novembre 2019) . - 4 p.[article] Présentation générale de notre système éducatif : L'état de l'École [document électronique] / Sophie Saint-Philippe . - 2019 . - 4 p.
Langues : Français (fre)
in Note d'information de la DEPP > n° 19.43 (novembre 2019) . - 4 p.
Catégories : Thésaurus CEREQ
SYSTEME EDUCATIF ; POPULATION SCOLAIRE ; EFFECTIF ; ECONOMIE DE L'EDUCATION ; ENSEIGNANT ; RENDEMENT DE L'EDUCATION ; FRANCE ; COMPARAISON INTERNATIONALERésumé : La publication L’état de l’École présente depuis 1992 une synthèse d’indicateurs statistiques qui apparaissent essentiels pour analyser notre système éducatif et apprécier les politiques publiques mises en oeuvre. Ces indicateurs, se renouvelant régulièrement, sont présentés le plus souvent avec une perspective temporelle, mais aussi internationale. Ils sont déclinés, lorsque cela est pertinent, selon l’origine sociale des élèves, le territoire où ils vivent et selon l’entrée filles-garçons.
L’objectif est d’alimenter le débat public autour de l’école, d’enrichir l’aide au pilotage et de contribuer à l’évaluation du système éducatif français.
En 2018, la population scolaire diminue très légèrement avec une baisse marquée dans le premier degré liée à la forte diminution des naissances des dernières années. L’effort de la nation pour l’École est important, mais la France apparaît encore en retrait sur le premier degré par rapport à la plupart des autres pays européens. En termes de résultats, sur le long terme, l’école a permis de diplômer et de qualifier beaucoup plus de jeunes, mais sans toutefois parvenir à faire disparaître les inégalités, en particulier celles liées à l’origine sociale, mais aussi entre filles et garçons ou territoriales. Enfin, toutes les évaluations de compétences mettent en évidence un pourcentage entre 15 % et 20 % d’élèves en forte difficulté scolaire et ceci très tôt dans leur scolarité.Document Céreq : Non En ligne : https://www.education.gouv.fr/cid145769/presentation-generale-de-notre-systeme-e [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=66118 Documents numériques
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depp-ni-2019-19-43-presentation-Etat-ecole_1201067.pdfAdobe Acrobat PDFLes enseignantes perçoivent 14 % de moins que les enseignants / Marion Defresne in Education et formations, n° 96 (mars 2018)
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[article]
Titre : Les enseignantes perçoivent 14 % de moins que les enseignants : Analyse des écarts de salaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Marion Defresne ; Olivier Monso ; Sophie Saint-Philippe Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp. 203-231 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
ENSEIGNANT ; SALAIRE ; INEGALITE SALARIALE ; POLITIQUE SALARIALE ; DIVISION SEXUELLE DU TRAVAIL ; FONCTION PUBLIQUE ; FEMME ; GENRE ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; FRANCERésumé : L’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est au cœur des valeurs et des missions de la fonction publique. Toutefois, l’égalité salariale de « droits » entre les deux sexes n’est pas forcément une égalité de « faits ». En 2015, dans le secteur public, une enseignante titulaire perçoit en moyenne un salaire net inférieur de 14 % à celui d’un enseignant. Alors que les règles de recrutement, d’emploi et de rémunération ne font intervenir aucune différenciation sexuée, pourquoi constate-t-on ces écarts de salaire ? Les enseignantes et enseignants n’ont pas les mêmes caractéristiques. D’une part, les femmes sont majoritaires dans le corps des professeurs des écoles, dont la rémunération est moins avantageuse que dans le second degré. D’autre part, elles effectuent plus souvent leur service à temps partiel et accèdent moins souvent à des fonctions offrant des compléments de salaire.
La méthode d’Oaxaca et Blinder, devenue standard dans l’analyse des inégalités de salaire, permet d’isoler le rôle de ces facteurs et de les hiérarchiser. Elle consiste à décomposer l’écart de salaire moyen entre les enseignantes et les enseignants entre une part qui vient des effets de composition (position dans la hiérarchie des emplois, rythme d’activité, fonctions exercées par les enseignants, âge, zone d’affectation), appelée part « expliquée », et une part qui reste « inexpliquée » après prise en compte des différences structurelles. Prises dans leur ensemble, les différences de situation permettent d’interpréter 80 % à 90 % des écarts de salaire entre enseignantes et enseignants. (Source : DEPP)Document Céreq : Non En ligne : http://cache.media.education.gouv.fr/file/revue_96/68/6/DEPP-EF96-2018-article-1 [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62175
in Education et formations > n° 96 (mars 2018) . - pp. 203-231[article] Les enseignantes perçoivent 14 % de moins que les enseignants : Analyse des écarts de salaire [texte imprimé] / Marion Defresne ; Olivier Monso ; Sophie Saint-Philippe . - 2018 . - pp. 203-231.
Langues : Français (fre)
in Education et formations > n° 96 (mars 2018) . - pp. 203-231
Catégories : Thésaurus CEREQ
ENSEIGNANT ; SALAIRE ; INEGALITE SALARIALE ; POLITIQUE SALARIALE ; DIVISION SEXUELLE DU TRAVAIL ; FONCTION PUBLIQUE ; FEMME ; GENRE ; CHEMINEMENT PROFESSIONNEL ; FRANCERésumé : L’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes est au cœur des valeurs et des missions de la fonction publique. Toutefois, l’égalité salariale de « droits » entre les deux sexes n’est pas forcément une égalité de « faits ». En 2015, dans le secteur public, une enseignante titulaire perçoit en moyenne un salaire net inférieur de 14 % à celui d’un enseignant. Alors que les règles de recrutement, d’emploi et de rémunération ne font intervenir aucune différenciation sexuée, pourquoi constate-t-on ces écarts de salaire ? Les enseignantes et enseignants n’ont pas les mêmes caractéristiques. D’une part, les femmes sont majoritaires dans le corps des professeurs des écoles, dont la rémunération est moins avantageuse que dans le second degré. D’autre part, elles effectuent plus souvent leur service à temps partiel et accèdent moins souvent à des fonctions offrant des compléments de salaire.
La méthode d’Oaxaca et Blinder, devenue standard dans l’analyse des inégalités de salaire, permet d’isoler le rôle de ces facteurs et de les hiérarchiser. Elle consiste à décomposer l’écart de salaire moyen entre les enseignantes et les enseignants entre une part qui vient des effets de composition (position dans la hiérarchie des emplois, rythme d’activité, fonctions exercées par les enseignants, âge, zone d’affectation), appelée part « expliquée », et une part qui reste « inexpliquée » après prise en compte des différences structurelles. Prises dans leur ensemble, les différences de situation permettent d’interpréter 80 % à 90 % des écarts de salaire entre enseignantes et enseignants. (Source : DEPP)Document Céreq : Non En ligne : http://cache.media.education.gouv.fr/file/revue_96/68/6/DEPP-EF96-2018-article-1 [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=62175