
Titre : | Préretraite progressive : pratiques et perspectives. (1996) |
Auteurs : | Etienne Gau ; Yves Le Roux ; Emmanuel Lefevre ; Marie-Laure Fougier ; Michel Vallee ; Daniel Xirau |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | LE MENSUEL DE L'ANACT (n° 217, juin-juillet 1996) |
Article en page(s) : | pp. 11-22 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ RETRAITE ANTICIPEE ; ORGANISATION D'ENTREPRISE ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; SAVOIR PROFESSIONNEL ; PRATIQUE DE GRH ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; ARDTT ; FLEXIBILITE DU MARCHE DU TRAVAIL ; TRANSFERABILITE DES COMPETENCES ; FRANCE ; RHONE ALPESOrganisme Cité RHONE-POULENC ; ANACT - AGENCE NATIONALE POUR L'AMELIORATION DES CONDITIONS DE TRAVAIL |
Résumé : | La préretraite progressive (PRP) permet de répondre à trois types de besoins : ceux des salariés car elle leur permet de réduire leur temps d'activité professionnelle ; ceux de l'entreprise qui peut ainsi rajeunir la moyenne d'âge de ses effectifs, renouveler les compétences disponibles, et pallier à la multiplication des mises en chômage partiel ; et ceux de la société puisqu'elle favorise l'accès des jeunes à l'emploi. Le dispositif est abordé dans sa totalité : principes, préparation, plan de conduite, impacts économiques et personnels. Pour l'entreprise, le risque de la PRP réside surtout dans la perte du savoir professionnel des salariés concernés : il s'agit pour elle d'anticiper un tel dispositif, aux niveaux qualitatif et quantitatif. Deux témoignages illustrent la pratique de la PRP : celui d'Aravis, qui mène l'action régionale de l'Anact en Rhône-Alpes, et celui de Rhône Poulenc, où ce choix a été majoritairement perçu comme une action positive. Si la PRP est promise à une forte évolution, une réflexion s'impose quant aux personnels touchés par ce dispositif, puisque la majorité des accords conclus concernent des ouvriers et des employés. |