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Socialisation partisane, transformation de soi et subversion de classe en banlieue communiste (1960-2014) / Pauline Clech in Sociologie, Vol 12, n° 1 (2021/1)
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Titre : Socialisation partisane, transformation de soi et subversion de classe en banlieue communiste (1960-2014) Type de document : document électronique Auteurs : Pauline Clech Année de publication : 2021 Article en page(s) : pp. 41-59 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
SOCIALISATION ; DEVELOPPEMENT URBAIN ; CLASSE SOCIALE ; FRANCE ; CULTURE ; MOBILITE SOCIALE ; CLASSE POPULAIRERésumé : À partir de l’analyse des trajectoires biographiques des acteurs du champ des politiques culturelles de la banlieue rouge, l’article montre comment une socialisation partisane – communiste – peut être subversive, en introduisant du jeu dans les rapports sociaux de classe dominants. Dans les années 1960 et 1970, en encourageant un travail de transformation de soi sur le front culturel, la socialisation communiste a débouché sur l’accumulation de ressources culturelles, transmuées en capital culturel par les institutions locales – ce qui a permis l’ascension sociale collective d’individus issus des classes populaires qui se sont ancrés dans l’espace des classes supérieures, en devenant des prescripteurs culturels reconnus (première dimension de la subversion analysée). Pour que les ressources culturelles accumulées par des individus qui en sont initialement dépossédés aient une efficacité sociale, l’article souligne l’importance de leur institutionnalisation. Dans le cas étudié, ce processus se fait hors de l’école et de la certification délivrée par les diplômes : il est le fait des institutions culturelles de la banlieue rouge, qui permettent l’acquisition d’un capital culturel institutionnalisé. Ces acteurs du champ des politiques culturelles, marqués par une socialisation partisane communiste, ont intégré une fraction spécifique des classes supérieures, la « bourgeoisie rouge », qui n’est pas dans une position mimétique vis-à -vis des normes et des goûts des classes supérieures traditionnelles, mais jouit d’une certaine autonomie culturelle. L’analyse porte plus spécifiquement sur les modalités d’incorporation d’une double échelle de légitimité culturelle dont les effets se font sentir sur l’action publique menée localement, voire nationalement – jusqu’à faire bouger les lignes de la légitimité culturelle (deuxième dimension de la subversion analysée). Document Céreq : Non En ligne : http://journals.openedition.org/sociologie/8083 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69755
in Sociologie > Vol 12, n° 1 (2021/1) . - pp. 41-59[article] Socialisation partisane, transformation de soi et subversion de classe en banlieue communiste (1960-2014) [document électronique] / Pauline Clech . - 2021 . - pp. 41-59.
Langues : Français (fre)
in Sociologie > Vol 12, n° 1 (2021/1) . - pp. 41-59
Catégories : Thésaurus CEREQ
SOCIALISATION ; DEVELOPPEMENT URBAIN ; CLASSE SOCIALE ; FRANCE ; CULTURE ; MOBILITE SOCIALE ; CLASSE POPULAIRERésumé : À partir de l’analyse des trajectoires biographiques des acteurs du champ des politiques culturelles de la banlieue rouge, l’article montre comment une socialisation partisane – communiste – peut être subversive, en introduisant du jeu dans les rapports sociaux de classe dominants. Dans les années 1960 et 1970, en encourageant un travail de transformation de soi sur le front culturel, la socialisation communiste a débouché sur l’accumulation de ressources culturelles, transmuées en capital culturel par les institutions locales – ce qui a permis l’ascension sociale collective d’individus issus des classes populaires qui se sont ancrés dans l’espace des classes supérieures, en devenant des prescripteurs culturels reconnus (première dimension de la subversion analysée). Pour que les ressources culturelles accumulées par des individus qui en sont initialement dépossédés aient une efficacité sociale, l’article souligne l’importance de leur institutionnalisation. Dans le cas étudié, ce processus se fait hors de l’école et de la certification délivrée par les diplômes : il est le fait des institutions culturelles de la banlieue rouge, qui permettent l’acquisition d’un capital culturel institutionnalisé. Ces acteurs du champ des politiques culturelles, marqués par une socialisation partisane communiste, ont intégré une fraction spécifique des classes supérieures, la « bourgeoisie rouge », qui n’est pas dans une position mimétique vis-à -vis des normes et des goûts des classes supérieures traditionnelles, mais jouit d’une certaine autonomie culturelle. L’analyse porte plus spécifiquement sur les modalités d’incorporation d’une double échelle de légitimité culturelle dont les effets se font sentir sur l’action publique menée localement, voire nationalement – jusqu’à faire bouger les lignes de la légitimité culturelle (deuxième dimension de la subversion analysée). Document Céreq : Non En ligne : http://journals.openedition.org/sociologie/8083 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69755 Investir les institutions depuis les marges de l’emploi / Angel Baraud in Politix, n° 130 (2020/2)
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Titre : Investir les institutions depuis les marges de l’emploi : Les rapports à l’État social et à l’école de femmes des classes populaires urbaines Type de document : document électronique Auteurs : Angel Baraud Année de publication : 2021 Article en page(s) : pp. 77-102 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CLASSE POPULAIRE ; MILIEU URBAIN ; FEMME ; EMPLOI DES FEMMES ; TRAVAILLEUR MIGRANT ; CHOMEUR ; CHOMAGE ; POLITIQUE SOCIALE ; SOCIALISATION ; IDENTITE SOCIALE ; CONDITION DE VIE ; RELATION TRAVAIL-FAMILLE ; REPRESENTATION DE LA FORMATION ; ENSEIGNEMENT PRIVE ; ASSOCIATION ; COMMUNE ; ETHNOLOGIE ; APPROCHE LOCALE ; ILE DE FRANCE ; FRANCE
Organisme Cité
POLE EMPLOIRésumé : À partir d’une enquête ethnographique auprès de femmes de classes populaires urbaines, sans emploi, portant notamment sur leurs rapports au travail et aux institutions publiques, cet article propose d’analyser les rapports à l’école d’un groupe de femmes qui scolarisent leurs enfants dans un établissement privé. Pour pallier le coût financier de la cantine, elles préparent le déjeuner de leurs enfants et se mobilisent pour avoir accès à un local municipal. En partant d’une question apparemment banale : « où faire manger ses enfants ? », l’article montre le caractère impossible, dans ce contexte, de la « conciliation entre vie familiale et vie professionnelle » à laquelle invitent les politiques publiques de l’emploi, du fait notamment des contraintes parentales engendrées par la scolarisation. Mais il montre également des femmes qui ne sont pas démunies dans leurs relations aux professionnelles et qui investissent individuellement et collectivement des structures publiques ou parapubliques pour contourner les défaillances des institutions de l’État social et des services publics, au premier rang desquelles se trouve l’école. L’école est une institution qui tient une place centrale dans la vie de ces femmes. Elle rythme leurs journées, leurs semaines et implique une importante charge de travail. De ce point de vue, elle n’est comparable à aucune des autres institutions auxquelles elles ont affaire. Toutefois, les pratiques et les représentations qu’elles engagent autour de la scolarisation de leurs enfants ainsi que les ressources qu’elles mobilisent face aux obstacles rencontrés invitent à penser l’école comme une institution comme les autres. Le sentiment de mise à distance en particulier ainsi que les différents modes d’investissement d’institutions intermédiaires qui en découlent ne sont pas spécifiques à l’école, c’est ce que montre l’étude de leurs relations à Pôle emploi. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/pox.130.0077 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69341
in Politix > n° 130 (2020/2) . - pp. 77-102[article] Investir les institutions depuis les marges de l’emploi : Les rapports à l’État social et à l’école de femmes des classes populaires urbaines [document électronique] / Angel Baraud . - 2021 . - pp. 77-102.
Langues : Français (fre)
in Politix > n° 130 (2020/2) . - pp. 77-102
Catégories : Thésaurus CEREQ
CLASSE POPULAIRE ; MILIEU URBAIN ; FEMME ; EMPLOI DES FEMMES ; TRAVAILLEUR MIGRANT ; CHOMEUR ; CHOMAGE ; POLITIQUE SOCIALE ; SOCIALISATION ; IDENTITE SOCIALE ; CONDITION DE VIE ; RELATION TRAVAIL-FAMILLE ; REPRESENTATION DE LA FORMATION ; ENSEIGNEMENT PRIVE ; ASSOCIATION ; COMMUNE ; ETHNOLOGIE ; APPROCHE LOCALE ; ILE DE FRANCE ; FRANCE
Organisme Cité
POLE EMPLOIRésumé : À partir d’une enquête ethnographique auprès de femmes de classes populaires urbaines, sans emploi, portant notamment sur leurs rapports au travail et aux institutions publiques, cet article propose d’analyser les rapports à l’école d’un groupe de femmes qui scolarisent leurs enfants dans un établissement privé. Pour pallier le coût financier de la cantine, elles préparent le déjeuner de leurs enfants et se mobilisent pour avoir accès à un local municipal. En partant d’une question apparemment banale : « où faire manger ses enfants ? », l’article montre le caractère impossible, dans ce contexte, de la « conciliation entre vie familiale et vie professionnelle » à laquelle invitent les politiques publiques de l’emploi, du fait notamment des contraintes parentales engendrées par la scolarisation. Mais il montre également des femmes qui ne sont pas démunies dans leurs relations aux professionnelles et qui investissent individuellement et collectivement des structures publiques ou parapubliques pour contourner les défaillances des institutions de l’État social et des services publics, au premier rang desquelles se trouve l’école. L’école est une institution qui tient une place centrale dans la vie de ces femmes. Elle rythme leurs journées, leurs semaines et implique une importante charge de travail. De ce point de vue, elle n’est comparable à aucune des autres institutions auxquelles elles ont affaire. Toutefois, les pratiques et les représentations qu’elles engagent autour de la scolarisation de leurs enfants ainsi que les ressources qu’elles mobilisent face aux obstacles rencontrés invitent à penser l’école comme une institution comme les autres. Le sentiment de mise à distance en particulier ainsi que les différents modes d’investissement d’institutions intermédiaires qui en découlent ne sont pas spécifiques à l’école, c’est ce que montre l’étude de leurs relations à Pôle emploi. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/pox.130.0077 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=69341 La mobilité domicile-travail des actifs de l’aire urbaine lyonnaise / Nathalie Havet in Travail et emploi, n° 160 (octobre-décembre 2019)
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Titre : La mobilité domicile-travail des actifs de l’aire urbaine lyonnaise : une approche temporelle (1995-2015) Type de document : document électronique Auteurs : Nathalie Havet ; Caroline Bayart ; Patrick Bonnel Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 47-73 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
MIGRATION PENDULAIRE ; POPULATION ACTIVE ; MILIEU URBAIN ; DEVELOPPEMENT URBAIN ; GENRE ; ECONOMETRIE ; APPROCHE LOCALE ; AUVERGNE-RHONE-ALPES ; FRANCERésumé : Ces dernières années, les grandes villes françaises ont connu un double phénomène de métropolisation et d’expansion spatiale. Dans ce contexte, la mobilité quotidienne des individus, et tout particulièrement celle liée au travail, constitue un enjeu central pour le développement des infrastructures. En s’appuyant sur les trois dernières Enquêtes ménages déplacements, cet article propose d’étudier l’évolution de la mobilité domicile-travail des actifs lyonnais depuis vingt ans (distance domicile-travail parcourue et usage de la voiture pour aller au travail). L’objectif est de déterminer si l’évolution des indicateurs de mobilité est davantage imputable à une modification de comportements des actifs ou à un changement structurel des caractéristiques de ces derniers, en intégrant une dimension temporelle dans les modèles économétriques. Si certaines différences de comportements de mobilité persistent, notamment selon le type d’emploi, l’utilisation de la voiture pour se rendre au travail a fortement évolué, mettant en évidence un effet de rattrapage chez les femmes et les professions et catégories socioprofessionnelles les moins élevées. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-travail-et-emploi-2019-4-page-47.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68989
in Travail et emploi > n° 160 (octobre-décembre 2019) . - pp. 47-73[article] La mobilité domicile-travail des actifs de l’aire urbaine lyonnaise : une approche temporelle (1995-2015) [document électronique] / Nathalie Havet ; Caroline Bayart ; Patrick Bonnel . - 2020 . - pp. 47-73.
Langues : Français (fre)
in Travail et emploi > n° 160 (octobre-décembre 2019) . - pp. 47-73
Catégories : Thésaurus CEREQ
MIGRATION PENDULAIRE ; POPULATION ACTIVE ; MILIEU URBAIN ; DEVELOPPEMENT URBAIN ; GENRE ; ECONOMETRIE ; APPROCHE LOCALE ; AUVERGNE-RHONE-ALPES ; FRANCERésumé : Ces dernières années, les grandes villes françaises ont connu un double phénomène de métropolisation et d’expansion spatiale. Dans ce contexte, la mobilité quotidienne des individus, et tout particulièrement celle liée au travail, constitue un enjeu central pour le développement des infrastructures. En s’appuyant sur les trois dernières Enquêtes ménages déplacements, cet article propose d’étudier l’évolution de la mobilité domicile-travail des actifs lyonnais depuis vingt ans (distance domicile-travail parcourue et usage de la voiture pour aller au travail). L’objectif est de déterminer si l’évolution des indicateurs de mobilité est davantage imputable à une modification de comportements des actifs ou à un changement structurel des caractéristiques de ces derniers, en intégrant une dimension temporelle dans les modèles économétriques. Si certaines différences de comportements de mobilité persistent, notamment selon le type d’emploi, l’utilisation de la voiture pour se rendre au travail a fortement évolué, mettant en évidence un effet de rattrapage chez les femmes et les professions et catégories socioprofessionnelles les moins élevées. Document Céreq : Non En ligne : https://www.cairn.info/revue-travail-et-emploi-2019-4-page-47.htm Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68989 L’école privée au service de l’attractivité territoriale ? Politiques scolaires et renouvellement urbain à Marseille / Gwenaëlle Audren in Cahiers de la recherche sur l'éducation et les savoirs, n° 19 (2020)
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Titre : L’école privée au service de l’attractivité territoriale ? Politiques scolaires et renouvellement urbain à Marseille Type de document : document électronique Auteurs : Gwenaëlle Audren Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 21-51 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
DEVELOPPEMENT LOCAL ; DEVELOPPEMENT URBAIN ; INEGALITE SOCIALE ; COLLECTIVITE LOCALE ; ENSEIGNEMENT PRIVE ; SYSTEME EDUCATIF ; SELECTION ; SCOLARISATION ; APPROCHE LOCALE ; PACA - PROVENCE ALPES COTE D'AZUR ; FRANCERésumé : Dans un contexte de globalisation et de néolibéralisation des politiques publiques, l’adoption d’un « new public management », affecte tous les domaines de la société, de l’aménagement du territoire au domaine de l’éducation. Dans le secteur éducatif, le rôle des collectivités territoriales, des institutions privées et des parents d’élèves a été renforcé, participant à la création de marchés scolaires de plus en plus compétitifs, où les établissements scolaires font désormais partie des aménités urbaines. Cet article met en évidence la façon dont l’école, et plus largement la dimension scolaire, devient un aspect essentiel de l’orientation des projets de renouvellement urbain et favorise le développement de nouveaux partenariats. Mobilisant une double méthodologie, alliant approche qualitative et quantitative, l’article montre plus précisément comment l’école devient un outil au service de la redynamisation urbaine, susceptible d’augmenter les risques de ségrégation et de renforcer les inégalités locales. Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/cres/4822 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68698
in Cahiers de la recherche sur l'éducation et les savoirs > n° 19 (2020) . - pp. 21-51[article] L’école privée au service de l’attractivité territoriale ? Politiques scolaires et renouvellement urbain à Marseille [document électronique] / Gwenaëlle Audren . - 2020 . - pp. 21-51.
Langues : Français (fre)
in Cahiers de la recherche sur l'éducation et les savoirs > n° 19 (2020) . - pp. 21-51
Catégories : Thésaurus CEREQ
DEVELOPPEMENT LOCAL ; DEVELOPPEMENT URBAIN ; INEGALITE SOCIALE ; COLLECTIVITE LOCALE ; ENSEIGNEMENT PRIVE ; SYSTEME EDUCATIF ; SELECTION ; SCOLARISATION ; APPROCHE LOCALE ; PACA - PROVENCE ALPES COTE D'AZUR ; FRANCERésumé : Dans un contexte de globalisation et de néolibéralisation des politiques publiques, l’adoption d’un « new public management », affecte tous les domaines de la société, de l’aménagement du territoire au domaine de l’éducation. Dans le secteur éducatif, le rôle des collectivités territoriales, des institutions privées et des parents d’élèves a été renforcé, participant à la création de marchés scolaires de plus en plus compétitifs, où les établissements scolaires font désormais partie des aménités urbaines. Cet article met en évidence la façon dont l’école, et plus largement la dimension scolaire, devient un aspect essentiel de l’orientation des projets de renouvellement urbain et favorise le développement de nouveaux partenariats. Mobilisant une double méthodologie, alliant approche qualitative et quantitative, l’article montre plus précisément comment l’école devient un outil au service de la redynamisation urbaine, susceptible d’augmenter les risques de ségrégation et de renforcer les inégalités locales. Document Céreq : Non En ligne : https://journals.openedition.org/cres/4822 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68698 Dossier métiers en mouvement : BTP et ville intelligente / Alain Mamessier in Avenirs professionnels, n° 3 (2020)
Inégalités intragénérationnelles au moment de l’entrée dans l’âge adulte. Apports des sciences sociales / Yaëlle Amsellem-Mainguy in Vie sociale, n° 29-30 (2020/1-2)
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PermalinkEtudes, emploi, ressources : les jeunes ruraux sont-ils différents des jeunes urbains ? / Laurie Pinel in Etudes et résultats, n° 1155 (juillet 2020)
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PermalinkConditions de vie des jeunes femmes en zone rurale : des inégalités par rapport aux hommes ruraux et aux urbaines / Laurie Pinel in Etudes et résultats, n° 1154 (juillet 2020)
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PermalinkDu mythe de l’habitant-écocitoyen à l’optimisation des modes de vie : vers une subjectivation néolibérale des conduites ? / Karl Berthelot in Reflets et perspectives de la vie économique, Tome LVIII (2020/1)
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PermalinkPermalinkLogistique urbaine durable : un poids croissant de l’action publique / Gilles Paché in Politiques et management public, vol. 37, n° 2 (avril-juin 2020)
PermalinkOccupational Safety and the City: Licensing Regulation and Deregulation in the Taxi Sector / Emily Reid-Musson in Relations industrielles / Industrial relations, vol. 75, n° 1 (Hiver 2020)
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PermalinkPermalinkQu’apporte l’urbanisme à l’étude des espaces de coworking ? / Divya Leducq in Revue d'économie régionale et urbaine, n° 5 (2019/5)
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PermalinkPermalinkPermalinkBien vivre dans les quartiers prioritaires : Rapport 2019 / France. Observatoire national de la politique de la ville (Paris) (2020)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPenser les classes sociales à partir des marges de l’emploi / José Angel Calderón in Mouvements, n° 100 (2019/4)
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PermalinkDisparités de croissance d’emploi des aires urbaines françaises et processus de métropolisation / Maurice Catin in Revue d'économie régionale et urbaine, n° 4 (2019/4)
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PermalinkUne mesure de l'éloignement des collèges / Sylvain Maugis in Note d'information de la DEPP, n° 19.36 (octobre 2019)
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PermalinkUne typologie des communes pour décrire le système éducatif / Cécile Duquet-Métayer in Note d'information de la DEPP, n° 19.35 (octobre 2019)
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PermalinkLes politiques urbaines dans les villes en décroissance / Vincent Béal in Géographie économie société, vol. 21, n° 1-2 (2019/1-2)
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PermalinkGorz, l'intempestif / Carlo Vercellone in Variations - Revue internationale de théorie critique, n° 22 (2019)
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PermalinkPrécarité, précaires, précariat. Allers-retours internationaux / Adrien Mazières-Vaysse in Emulations, n° 28 (2018)
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PermalinkPermalinkJeunes des villes, jeunes des champs : la lutte des classes n’est pas finie / Salomé Berlioux (2019)
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PermalinkPermalinkPermalinkPermalinkPoint de vue de jeunes autochtones en milieu urbain sur leur parcours scolaire / Natasha Blanchet-Cohen in Jeunes et Société, vol. 3, n° 2 (2018)
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PermalinkL’entrepreneuriat dans les activités culturelles et créatives. Dossier / Caroline Chapain in Revue de l'entrepreneuriat, vol. 17, n° 1 (2018/1)
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PermalinkPermalinkL’innovation territoriale, entre gouvernance et apprentissages. Cahier / André Torre in Management & Avenir, n° 97 (2017/7)
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PermalinkRegards croisés sur les villes moyennes / CGET - Commissariat général à l'égalité des territoires (2018)
PermalinkPermalinkDynamique de l’emploi dans les métropoles et les territoires avoisinants / Cécile Altaber in Note d'analyse, n° 64 (novembre 2017)
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PermalinkFinancer la ville à l’heure de la révolution numérique / Isabelle Baraud-Serfaty in Esprit, n° 2017/6 (juin 2017)
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PermalinkD'où viennent les écarts de salaire entre les territoires ? / Paul Charruau in Note d'analyse, n° 55 (mai 2017)
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PermalinkDynamique de l'emploi et des métiers : quelle fracture territoriale ? / Frédéric Lainé in Note d'analyse, n° 53 (février 2017)
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PermalinkPermalinkPermalinkEconomie sociale et économie politique. Regards croisés sur l'histoire et sur les enjeux contemporains / Carole Brunet (2017)
PermalinkLes politiques nationales de développement urbain durable en France à l’épreuve des expérimentations locales / Michael Fenker in Politiques et management public, vol. 34, n° 1-2 (janvier-juin 2017)
PermalinkPermalinkRenouveau des utopies urbaines in Futuribles, n° 414 (septembre-octobre 2016)
PermalinkTerritoires, offre de formation et expérience du décrochage scolaire : une étude de cas / Lucy Bell in Espaces et sociétés, n° 166 (2016/3)
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PermalinkLe développement durable comme objet de transactions / Jean-Louis Genard in SociologieS, mis en ligne le 16 juin 2016 (juin 2016)
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