Dépouillements

La rationalisation du travail d’ingénieur d’études dans les organisations publiques / Lambert Lanoë in Gérer et comprendre, n° 141 (2020/3)  

Public ISBD [article]  inGérer et comprendre > n° 141 (2020/3) . - pp. 25-43 Titre : La rationalisation du travail d’ingénieur d’études dans les organisations publiques Type de document : document électronique Auteurs : Lambert Lanoë Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 25-43 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ INGENIEUR ; METIER DE LA FONCTION ETUDE ; ORGANISATION SCIENTIFIQUE DU TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; METIER DE LA DIRECTION GENERALE ; FONCTION ETUDE ; CONDITION DE TRAVAIL ; SECTEUR PUBLIC ; ENTREPRISE PUBLIQUE ; INDUSTRIE EXTRACTIVE-ENERGIE ; TRANSPORT FERROVIAIRE ; ENCADREMENT ; GESTION ; CONDUITE DU CHANGEMENT ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; FONCTION PUBLIQUE ; IDENTITE PROFESSIONNELLE ; GESTION PREVISIONNELLE ; TRAVAIL ; EXTERNALISATION ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; FRANCE Résumé : Depuis le développement des sociétés industrielles, les ingénieurs se sont trouvés en position d’objectiver le travail des autres catégories de travailleurs. En ce sens, l’avènement de l’Organisation Scientifique du Travail a consacré leur rôle au sein des entreprises. Toutefois, les nombreuses mutations et projets de rationalisation qui se sont immiscés dans nos grandes organisations publiques sont à l’origine d’une profonde complexification du travail d’ingénieur. En effet, l’évolution historique introduite par la division sociale du travail à travers le taylorisme, dont les ingénieurs ont été des acteurs éminemment déterminants, a fini par les affecter à leur tour. On peut voir ici une certaine application du darwinisme où les ingénieurs originels, qui objectivaient le travail des autres employés, voient désormais leur propre travail objectivé par les gestionnaires et leurs machines. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/geco1.141.0025 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68265 [article] La rationalisation du travail d’ingénieur d’études dans les organisations publiques [document électronique] / Lambert Lanoë . - 2020 . - pp. 25-43. Langues : Français (fre) in Gérer et comprendre > n° 141 (2020/3) . - pp. 25-43 Catégories : Thésaurus CEREQ INGENIEUR ; METIER DE LA FONCTION ETUDE ; ORGANISATION SCIENTIFIQUE DU TRAVAIL ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; METIER DE LA DIRECTION GENERALE ; FONCTION ETUDE ; CONDITION DE TRAVAIL ; SECTEUR PUBLIC ; ENTREPRISE PUBLIQUE ; INDUSTRIE EXTRACTIVE-ENERGIE ; TRANSPORT FERROVIAIRE ; ENCADREMENT ; GESTION ; CONDUITE DU CHANGEMENT ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; FONCTION PUBLIQUE ; IDENTITE PROFESSIONNELLE ; GESTION PREVISIONNELLE ; TRAVAIL ; EXTERNALISATION ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; FRANCE Résumé : Depuis le développement des sociétés industrielles, les ingénieurs se sont trouvés en position d’objectiver le travail des autres catégories de travailleurs. En ce sens, l’avènement de l’Organisation Scientifique du Travail a consacré leur rôle au sein des entreprises. Toutefois, les nombreuses mutations et projets de rationalisation qui se sont immiscés dans nos grandes organisations publiques sont à l’origine d’une profonde complexification du travail d’ingénieur. En effet, l’évolution historique introduite par la division sociale du travail à travers le taylorisme, dont les ingénieurs ont été des acteurs éminemment déterminants, a fini par les affecter à leur tour. On peut voir ici une certaine application du darwinisme où les ingénieurs originels, qui objectivaient le travail des autres employés, voient désormais leur propre travail objectivé par les gestionnaires et leurs machines. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/geco1.141.0025 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68265

Le rôle de la dynamique communautaire dans la mise en Å“uvre d’une démarche de lean management / Johan Glaisner in Gérer et comprendre, n° 141 (2020/3)  

Public ISBD [article]  inGérer et comprendre > n° 141 (2020/3) . - pp. 45-56 Titre : Le rôle de la dynamique communautaire dans la mise en Å“uvre d’une démarche de lean management : le cas Yves Rocher Type de document : document électronique Auteurs : Johan Glaisner ; Olivier Masclef Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp. 45-56 Langues : Français (fre) Catégories : Organisme Cité YVES ROCHER Thésaurus CEREQ INDUSTRIE DE LA PARFUMERIE ; PARFUMEUR ; TOYOTISME ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; EVALUATION ; CONDUITE DU CHANGEMENT ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; CONDITION DE TRAVAIL ; ENCADREMENT ; COMMUNAUTE DE PRATIQUE ; FRANCE Résumé : En 2006, le Groupe Rocher Opérations (GRO), la filiale qui regroupe la production et la supply chain du Groupe Yves Rocher, commence à mettre en place le lean management en vue d’optimiser son processus de production et de distribution. Douze ans plus tard, force est de constater que la démarche a été une franche réussite : non seulement l’entreprise a atteint ses objectifs industriels et économiques, mais encore le lean s’est déployé dans un climat social extrêmement bon et une appropriation généralisée. Cette réussite interroge, tant le lean management a été décrié : on lui reproche régulièrement la « casse sociale », le manque d’efficacité et l’irrespect du travail réel. Notre recherche vise à comprendre comment une telle appropriation a été possible. Nous verrons que cette réussite vient du fait que l’entreprise fonctionne comme une communauté de travail (une dynamique fusionnelle créée par des communs, de la convivance et une structuration commune du monde), et que le management joue délibérément le jeu de cette communauté. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/geco1.141.0045 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68266 [article] Le rôle de la dynamique communautaire dans la mise en Å“uvre d’une démarche de lean management : le cas Yves Rocher [document électronique] / Johan Glaisner ; Olivier Masclef . - 2020 . - pp. 45-56. Langues : Français (fre) in Gérer et comprendre > n° 141 (2020/3) . - pp. 45-56 Catégories : Organisme Cité YVES ROCHER Thésaurus CEREQ INDUSTRIE DE LA PARFUMERIE ; PARFUMEUR ; TOYOTISME ; ORGANISATION DU TRAVAIL ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; EVALUATION ; CONDUITE DU CHANGEMENT ; CHANGEMENT ORGANISATIONNEL ; REPRESENTATION DU TRAVAIL ; CONDITION DE TRAVAIL ; ENCADREMENT ; COMMUNAUTE DE PRATIQUE ; FRANCE Résumé : En 2006, le Groupe Rocher Opérations (GRO), la filiale qui regroupe la production et la supply chain du Groupe Yves Rocher, commence à mettre en place le lean management en vue d’optimiser son processus de production et de distribution. Douze ans plus tard, force est de constater que la démarche a été une franche réussite : non seulement l’entreprise a atteint ses objectifs industriels et économiques, mais encore le lean s’est déployé dans un climat social extrêmement bon et une appropriation généralisée. Cette réussite interroge, tant le lean management a été décrié : on lui reproche régulièrement la « casse sociale », le manque d’efficacité et l’irrespect du travail réel. Notre recherche vise à comprendre comment une telle appropriation a été possible. Nous verrons que cette réussite vient du fait que l’entreprise fonctionne comme une communauté de travail (une dynamique fusionnelle créée par des communs, de la convivance et une structuration commune du monde), et que le management joue délibérément le jeu de cette communauté. Document Céreq : Non En ligne : https://doi.org/10.3917/geco1.141.0045 Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=68266