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Exemplaires (2)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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1000335 | P | Périodique | CEREQ | Bibliothèque | Disponible |
1000336 | P | Périodique | CEREQ | Bibliothèque | Disponible |
Dépouillements


Stagnation de la productivité en France : héritage de la crise ou ralentissement structurel ? / Gilbert Cette in Economie et statistique, n° 494-495-496 (2017)
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[article]
Titre : Stagnation de la productivité en France : héritage de la crise ou ralentissement structurel ? Type de document : document électronique Auteurs : Gilbert Cette ; Simon Corde ; Rémy Lecat Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 11-37 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
PRODUCTIVITE ; PRODUCTIVITE DU TRAVAIL ; CRISE ECONOMIQUE ; INNOVATION ; INDICATEUR ; MACROECONOMIE ; STATISTIQUE ECONOMIQUE ; STATISTIQUE D'ENTREPRISE ; FRANCERésumé : Le ralentissement de la productivité a été analysé soit comme un effet de la crise, lié aux conséquences du choc financier et de demande, soit comme un épuisement plus structurel. En France, sur données macroéconomiques et microéconomiques, nous identifions des ruptures à la baisse des tendances de la productivité du travail et de la productivité globale des facteurs dans les années 2000, plusieurs années avant la crise. Ces ruptures amènent ces tendances sur des rythmes historiquement faibles. Sur les données d’entreprises implantées en France, nous mettons en évidence que la productivité a accéléré à la frontière technologique, surtout sur la période récente, ce qui contredit l’hypothèse d’un épuisement de l’innovation. Les entreprises les plus productives une année donnée n’accentuent toutefois pas leur avantage relatif. La convergence de la productivité des entreprises ne paraît pas avoir ralenti dans les années 2000, ce qui ne confirme pas l’hypothèse d’une diminution de la diffusion de l’innovation. En revanche, la dispersion de la productivité entre firmes s’est accrue, ce qui suggère une augmentation des difficultés de réallocation des facteurs de production, travail et capital, entre firmes. (Source : revue) Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site de l'Insee Extraits en ligne : commentaire de l'article par Flora Bellone En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/3135045/494-495-496_Cette-Corde-Lec [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61333
in Economie et statistique > n° 494-495-496 (2017) . - pp. 11-37[article] Stagnation de la productivité en France : héritage de la crise ou ralentissement structurel ? [document électronique] / Gilbert Cette ; Simon Corde ; Rémy Lecat . - 2017 . - pp. 11-37.
Langues : Français (fre)
in Economie et statistique > n° 494-495-496 (2017) . - pp. 11-37
Catégories : Thésaurus CEREQ
PRODUCTIVITE ; PRODUCTIVITE DU TRAVAIL ; CRISE ECONOMIQUE ; INNOVATION ; INDICATEUR ; MACROECONOMIE ; STATISTIQUE ECONOMIQUE ; STATISTIQUE D'ENTREPRISE ; FRANCERésumé : Le ralentissement de la productivité a été analysé soit comme un effet de la crise, lié aux conséquences du choc financier et de demande, soit comme un épuisement plus structurel. En France, sur données macroéconomiques et microéconomiques, nous identifions des ruptures à la baisse des tendances de la productivité du travail et de la productivité globale des facteurs dans les années 2000, plusieurs années avant la crise. Ces ruptures amènent ces tendances sur des rythmes historiquement faibles. Sur les données d’entreprises implantées en France, nous mettons en évidence que la productivité a accéléré à la frontière technologique, surtout sur la période récente, ce qui contredit l’hypothèse d’un épuisement de l’innovation. Les entreprises les plus productives une année donnée n’accentuent toutefois pas leur avantage relatif. La convergence de la productivité des entreprises ne paraît pas avoir ralenti dans les années 2000, ce qui ne confirme pas l’hypothèse d’une diminution de la diffusion de l’innovation. En revanche, la dispersion de la productivité entre firmes s’est accrue, ce qui suggère une augmentation des difficultés de réallocation des facteurs de production, travail et capital, entre firmes. (Source : revue) Document Céreq : Non En savoir plus : sur le site de l'Insee Extraits en ligne : commentaire de l'article par Flora Bellone En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/3135045/494-495-496_Cette-Corde-Lec [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61333 Les dynamiques individuelles de revenu salarial en France pendant la crise / Pierre Pora in Economie et statistique, n° 494-495-496 (2017)
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[article]
Titre : Les dynamiques individuelles de revenu salarial en France pendant la crise Type de document : document électronique Auteurs : Pierre Pora ; Lionel Wilner Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 191-212 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
REVENU ; SALAIRE ; INEGALITE SALARIALE ; CRISE ECONOMIQUE ; TEMPS DE TRAVAIL ; ECONOMIE DU TRAVAIL ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; FRANCE ; DADS - DECLARATION ANNUELLE DE DONNEES SOCIALESRésumé : Le caractère incertain des revenus futurs limite la capacité des agents à lisser leur consommation dans le temps. Les variations de cette incertitude peuvent donc induire des variations de bien-être. Nous étudions les évolutions de l’incertitude sur le revenu salarial en France avant et au cours de la crise de 2008 à partir de données administratives longitudinales. En employant une méthode non-paramétrique, nous estimons l’ampleur et la forme de cette incertitude et montrons qu’elles dépendent du revenu salarial passé. Nous décomposons cette incertitude entre salaire et volume de travail, et selon la mobilité des salariés. Au cours de la crise, l’ampleur de l’incertitude sur le revenu salarial futur augmente légèrement, et son asymétrie vers le bas se renforce aux extrémités de l’échelle salariale : les évolutions défavorables prennent un poids plus important dans l’incertitude au cours de la crise qu’au cours de la période précédente. Cela s’explique par une probabilité accrue d’évolutions individuelles défavorables en termes de volume de travail pour les salariés les moins rémunérés, en termes de salaire pour les mieux rémunérés. Les mobilités sont plus fréquentes au cours de la crise mais l’incertitude associée est moindre qu’au cours des années antérieures. (Source : revue) Document Céreq : Non En savoir plus : complément sur le site de l'Insee En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/3135090/494-495-496_Pora-Wilner-FR. [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61334
in Economie et statistique > n° 494-495-496 (2017) . - pp. 191-212[article] Les dynamiques individuelles de revenu salarial en France pendant la crise [document électronique] / Pierre Pora ; Lionel Wilner . - 2017 . - pp. 191-212.
Langues : Français (fre)
in Economie et statistique > n° 494-495-496 (2017) . - pp. 191-212
Catégories : Thésaurus CEREQ
REVENU ; SALAIRE ; INEGALITE SALARIALE ; CRISE ECONOMIQUE ; TEMPS DE TRAVAIL ; ECONOMIE DU TRAVAIL ; MOBILITE PROFESSIONNELLE ; FRANCE ; DADS - DECLARATION ANNUELLE DE DONNEES SOCIALESRésumé : Le caractère incertain des revenus futurs limite la capacité des agents à lisser leur consommation dans le temps. Les variations de cette incertitude peuvent donc induire des variations de bien-être. Nous étudions les évolutions de l’incertitude sur le revenu salarial en France avant et au cours de la crise de 2008 à partir de données administratives longitudinales. En employant une méthode non-paramétrique, nous estimons l’ampleur et la forme de cette incertitude et montrons qu’elles dépendent du revenu salarial passé. Nous décomposons cette incertitude entre salaire et volume de travail, et selon la mobilité des salariés. Au cours de la crise, l’ampleur de l’incertitude sur le revenu salarial futur augmente légèrement, et son asymétrie vers le bas se renforce aux extrémités de l’échelle salariale : les évolutions défavorables prennent un poids plus important dans l’incertitude au cours de la crise qu’au cours de la période précédente. Cela s’explique par une probabilité accrue d’évolutions individuelles défavorables en termes de volume de travail pour les salariés les moins rémunérés, en termes de salaire pour les mieux rémunérés. Les mobilités sont plus fréquentes au cours de la crise mais l’incertitude associée est moindre qu’au cours des années antérieures. (Source : revue) Document Céreq : Non En savoir plus : complément sur le site de l'Insee En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/3135090/494-495-496_Pora-Wilner-FR. [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61334 Logiques d’ajustement à la crise en France : l’apport de données d’établissement / Delphine Brochard in Economie et statistique, n° 494-495-496 (2017)
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[article]
Titre : Logiques d’ajustement à la crise en France : l’apport de données d’établissement Type de document : document électronique Auteurs : Delphine Brochard ; Corinne Perraudin Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp. 213-229 Langues : Français (fre) Catégories : Thésaurus CEREQ
CRISE ECONOMIQUE ; ENQUETE REPONSE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; POLITIQUE SALARIALE D'ENTREPRISE ; PRATIQUE DE GRH ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; FRANCERésumé : L’article étudie les ajustements en termes d’emploi, de rémunération et d’organisation de l’activité productive mis en oeuvre par les établissements français entre 2008 et 2010, sur la base de l’enquête REPONSE de la Dares. Il met en évidence, à partir d’une classification statistique, une diversité de pratiques montrant la complémentarité de ces différents ajustements. Analysant les caractéristiques des différentes classes d’établissements, l’article étudie, au-delà du contexte économique et social, l’effet propre des outils de flexibilisation de la main d’oeuvre dont disposent les établissements, et des rapports de dépendance économique et financière auxquels ils sont soumis. La présence de composantes flexibles de rémunération (augmentations individualisées et primes à la performance individuelle) et la polyvalence des salariés ressortent de façon significative, contrairement au recours à des contrats temporaires ou à la sous-traitance. Les ajustements opérés par les établissements apparaissent également affectés significativement par le fait d’être détenu principalement par des investisseurs étrangers, d’être une filiale de groupe (coté ou non), ou encore d’être inséré dans une chaîne de sous-traitance. (Source : revue) Document Céreq : Non En savoir plus : complément sur le site de l'Insee En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/3135094/494-495-496_Brochard-Perrau [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61335
in Economie et statistique > n° 494-495-496 (2017) . - pp. 213-229[article] Logiques d’ajustement à la crise en France : l’apport de données d’établissement [document électronique] / Delphine Brochard ; Corinne Perraudin . - 2017 . - pp. 213-229.
Langues : Français (fre)
in Economie et statistique > n° 494-495-496 (2017) . - pp. 213-229
Catégories : Thésaurus CEREQ
CRISE ECONOMIQUE ; ENQUETE REPONSE ; POLITIQUE D'ENTREPRISE ; POLITIQUE SALARIALE D'ENTREPRISE ; PRATIQUE DE GRH ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; FRANCERésumé : L’article étudie les ajustements en termes d’emploi, de rémunération et d’organisation de l’activité productive mis en oeuvre par les établissements français entre 2008 et 2010, sur la base de l’enquête REPONSE de la Dares. Il met en évidence, à partir d’une classification statistique, une diversité de pratiques montrant la complémentarité de ces différents ajustements. Analysant les caractéristiques des différentes classes d’établissements, l’article étudie, au-delà du contexte économique et social, l’effet propre des outils de flexibilisation de la main d’oeuvre dont disposent les établissements, et des rapports de dépendance économique et financière auxquels ils sont soumis. La présence de composantes flexibles de rémunération (augmentations individualisées et primes à la performance individuelle) et la polyvalence des salariés ressortent de façon significative, contrairement au recours à des contrats temporaires ou à la sous-traitance. Les ajustements opérés par les établissements apparaissent également affectés significativement par le fait d’être détenu principalement par des investisseurs étrangers, d’être une filiale de groupe (coté ou non), ou encore d’être inséré dans une chaîne de sous-traitance. (Source : revue) Document Céreq : Non En savoir plus : complément sur le site de l'Insee En ligne : https://www.insee.fr/fr/statistiques/fichier/3135094/494-495-496_Brochard-Perrau [...] Permalink : https://pmb.cereq.fr/index.php?lvl=notice_display&id=61335