Accueil
Titre : | Sans licenciements, pourquoi les restructurations sont-elles encore brutales ? (2005) |
Auteurs : | Jean-Paul Dumond |
Type de document : | Article : document Ă©lectronique |
Dans : | Psychologie du travail et des organisations (vol. 11 - n° 4, décembre 2005) |
Article en page(s) : | pp. 241-255 |
Langues: | Français |
Catégories : |
Thésaurus CEREQ CONDITION DE TRAVAIL ; RELATION HUMAINE ; RESTRUCTURATION D'ENTREPRISE ; ETABLISSEMENT HOSPITALIER ; FRANCE |
RĂ©sumĂ© : | Ă partir de l'analyse de 14 cas de restructurations hospitaliĂšres, se dĂ©roulant sans licenciements, ni mise en cause de la rĂ©munĂ©ration ou de la fonction, mais avec une certaine brutalitĂ©, l'analyse des perceptions et des enjeux vĂ©cus par les personnels permet de mettre en Ă©vidence, du point de vue des employĂ©s, quatre dimensions des restructurations : la dimension institutionnelle (ayant trait Ă l'emploi et aux conditions de travail dans leurs grandes lignes), la dimension existentielle oĂč se jouent les questions liĂ©es aux engagements affectifs dans l'activitĂ© professionnelle et au sens du travail, la dimension normative relative aux compĂ©tences et Ă la rĂ©gulation autonome, enfin la dimension culturelle oĂč se construisent la lĂ©gitimation et l'acceptation des opĂ©rations envisagĂ©es. Chacune possĂšde son rythme d'Ă©volution spĂ©cifique. |
Document Céreq : | Non |
En ligne : | https://doi.org/10.1016/j.pto.2005.10.005 |